DANS L’INVISIBLE LA FISSURE DE L’ÉPIDERME.
Wiame Haddad est une photographe de la matière. Elle révèle au travers des corps qu’elle photographie leur aspect tellurique et aborde les paysages qu’elle enregistre comme des corps organiques. La tension qui se révèle peu à peu dans les corps qu’elle rencontre entre en alchimie avec la matière qui l’intéresse et qu’elle met en scène dans ses photographies. Le travail de l’artiste prend l’ampleur d’une étude photographique et d’une recherche éthique et formelle. Cette recherche se double d’une aspiration pour ce que l’on ne voit pas. L’artiste se concentre sur les Corps oubliés par l’Histoire. C’est autour de ce creusé des invisibles que se dessine l’oeuvre de Haddad. En nous montrant ces corps inutiles, les photographies dérobent au regard leur part manquante. Elle développe des projets artistiques, sculpturales et photographiques qui portent en eux les enjeux d’une tension du corps comme signifiant du politique.
Wiame Haddad est une photographe de la matière. Elle révèle au travers des corps qu’elle photographie leur aspect tellurique et aborde les paysages qu’elle enregistre comme des corps organiques. La tension qui se révèle peu à peu dans les corps qu’elle rencontre entre en alchimie avec la matière qui l’intéresse et qu’elle met en scène dans ses photographies. Le travail de l’artiste prend l’ampleur d’une étude photographique et d’une recherche éthique et formelle. Cette recherche se double d’une aspiration pour ce que l’on ne voit pas. L’artiste se concentre sur les Corps oubliés par l’Histoire. C’est autour de ce creusé des invisibles que se dessine l’oeuvre de Haddad. En nous montrant ces corps inutiles, les photographies dérobent au regard leur part manquante. Elle développe des projets artistiques, sculpturales et photographiques qui portent en eux les enjeux d’une tension du corps comme signifiant du politique.